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philosophie instants
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12 juin 2009

La forêt cache l'arbre

    En somme les intérêts humains immédiats anéantissent la transmission idéale ; ce qui consiste à bifurquer la     saine rationalité au profit d’un intérêt(s) structurel de groupe.
 

 

    Etant entendu que cette saine universalité n’existe pas encore dans toutes les déterminations et que par conséquent l’intérêt humain grégaire de Sens s’y substitue. Mais aussi que ce Sens agrégé fera spontanément tout pour détourner les affleurements rationnels ; y compris dans des sociétés dites raisonnables, puisqu’il est dans l’essence même de ce qui est (déterminé) de se refermer sur soi ; le langage , partagé , et attiré immédiatement dans le symbolique, cad la résolution simpliste de la réalité, n’échappe pas à la règle ; il se détourne du regard et s’emploie à renouer les mêmes fils, et non pas à élaborer de nouvelles hypothèses .
 

 

    Des comportements ou des signes sont de telles hypothèses ; des manières d’y être ou des expressions ; qui entament les flux langagiers, les échanges eux-mêmes, matériellement, effectivement (et non pas seulement dans la bataille des « idées ») ; les flux installés sont de véritables murs alors même qu’il existe une profusion de flux.  

 

    En démocratie avancée, il faut se demander ; où sont-ils ? Parce qu’en démocratie avancée, c’est la forêt qui cache l’arbre ; qui dissimule le nœud, le tissage, le Sens de pure nécessité aliénante, provalent, cela même qui dérive les signes, purement factuels et à disposition des esprits individuels, en symboliques déjà liées et déjà échangées.  

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