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philosophie instants
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25 décembre 2006

le précidément

Sans personne pour penser : parce que la difficulté est de ne pas perdre le nord ; on peut penser tellement d’évidences psycho-affectives … le tout est bel et bien d’articuler ce qui est exprimé à l’expression. L’expression ne doit pas se laisser déborder. On s’étonne que les mathématiques puissent exprimer les choses réelles : et cette cohérence est requise, et son abstraction. De même : si il est une logique créée du sujet au sein de la culture, elle doit rendre compte de son autonomie … comment ne voit-on pas que cette autonomie ; cad la capacité de dire ce qu’il en est de son être(s) du sujet : est le fondement de tout possible humain, individuel et collectif. (puisque nous ne tolérons plus un collectif qui ne se justifierait pas).

Et puisque n’est pas mémorisé ce qui n’est pas dit .

Si l’émergence de la culture dans l’espèce permet d’augmenter la dose d’information possible,

l’expression du sujet non seulement manifeste ce sujet, mais de plus ouvre dans l’acculturation les distances nécessaires à ceci : que le possible se multiplie.

Sinon il ne demeure que la répétition des mêmes signes. La répétition des mêmes signes signifie qu’il n’est qu’une seule origine à l’ensemble des signes ; que le pouvoir ne se partage pas. L’autonomie des sujets à produire leur propre réglementation, leur signalétique, est ce qui rend manifeste que l’autonomie peut être applicable, appliquée, reprise, et modifiée : dans les modifications mêmes que se crée le sujet : en somme, il se crée ses opportunités, qu’il dépose comme mémorisées dans le texte.

Que cette modification soit transmissible ; signifie ( et signe) sa cohérence et sa réalité, cad sa vérité.

Mais elle ne sera pas transmissible comme autre que son contenu : l’expérience existentielle vécue et articulée est quasi entièrement dite : passe dans le texte… elle ne peut pas demeurer extérieure au texte. Comme les mathématiques expriment la réalité, le texte exprime le sujet tel quel. Cad le sujet susceptible d’être textué. Et non le sujet qui correspondrait à telle ou telle partie du moi, acquise et répétée, ou donnée et naturelle.

Et si elle est transmise, ça n’est pas en tant que « vérité » au sens du moi ou de l’ordre (cad relevant d’un autre niveau, infra par rapport à l’exigence philosophique qui est , qu’on le veuille ou non, la cohérence en soi ; cad toute la cohérence dont nous sommes capables, la cohérence pour-nous, êtres humains ).Mais dans une intentionnalité dans sa précision

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