Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
philosophie instants
philosophie instants
Publicité
Archives
26 août 2007

deux dimensions

 

    Il est deux dimensions. Celle du moi qui gère le donné qui est emprunté selon une intentionnalité multiple mais unifiante  vers  un point de fuite qui sera de toute manière imaginaire, cad positionnant le corps dans un certain sens selon un autre monde , autrement organisé. Le lieu absolu du mélange, de la subtilité et de l’idiotie.  

 

    Et celle du sujet qui traite tout donné selon une intentionnalité stoppée nettement, qui n’admet que le découpable, sans unité autre que celle que le sujet formel est, qui développe la positivité de l’être absolument là où il est (en tant que corps). Quasi aveugle et sourd, mais pas muet. Il nuance, là où rien n'existe, cad qu'il crée et ceci selon une forme, voir un formalisme.
 

 

    Habitant soudainement le moi, il renverse et brise : toute sa négativité est une décisive positivité de laquelle on ne peut plus décrocher, historiquement.  

 

    Mais aussi psychologiquement, et le moi s’en préserve.  

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité