deux dimensions
Il est deux dimensions. Celle du moi qui gère le donné qui est emprunté selon une intentionnalité multiple mais unifiante vers un point de fuite qui sera de toute manière imaginaire, cad positionnant le corps dans un certain sens selon un autre monde , autrement organisé. Le lieu absolu du mélange, de la subtilité et de l’idiotie.
Et
celle du sujet qui traite tout donné selon une intentionnalité stoppée
nettement, qui n’admet que le découpable, sans unité autre que celle
que le sujet formel est, qui développe la positivité de l’être
absolument là où il est (en tant que corps). Quasi aveugle et sourd,
mais pas muet. Il nuance, là où rien n'existe, cad qu'il crée et ceci
selon une forme, voir un formalisme.
Habitant soudainement le moi, il renverse et brise : toute sa négativité est une décisive positivité de laquelle on ne peut plus décrocher, historiquement.
Mais aussi psychologiquement, et le moi s’en préserve.