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philosophie instants
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27 janvier 2008

Le Sujet de la philosophie

On a voulu résoudre à rien la métaphysique ; en quoi on a eu bien raison ; on ne peut conclure du concept à l’existence, mais aussi il n’y a pas a pas dans le concept, tous les éléments du monde.

Mais la métaphysique, cad le développement autonome du discours, de la pensée cohérente à partir de ses seules notions à peu près repérables, n’est pas seulement un discours. Et ce qui nous ennuie ensuite, c’est que perdant la possibilité de formuler un discours sur ses seules forces, on abandonne aussi ce quelque chose en plus qui métaphysiquement s’énonçait.

Au point de Kant doit pour continuer de référer le sujet à une surface, supposer le contenu du discours comme probablement vrai d’un autre point de vue que celui de la cohérence du discours, soit la cohérence du sujet. Mais la cohérence d’un sujet telle que reconstruite … par un discours (sur le sujet). Ce qui revient à postuler la dite cohérence comme étant l’être du dit sujet.

Que le sujet ne soit en capacité de se mesurer (et de mesurer quoi que ce soit) que via ce discours cohérent ne peut pas être remis en question ; soit l’on comprend ce que l’on dit, soit non.

Mais que tous les contenus du discours soient uniques et univoques et unilatéraux… c’est autre chose.

Parce que si le sujet est certes le sujet du Discours (installé culturellement et validement en cette culture), il est cependant le sujet tel qu’il l’est. Cad que son être échappe quand même quelque part à ce dont il est le support, et qu’il ne s’y limite pas.

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